Plus d’un mois sans elle
Plus d’un mois que je n’avais pas senti son odeur…
À la suite d’une incompréhension nous avions pris de la distance.
Je prenais du plaisir solitaire devant la seule sex-vidéo d’elle que j’avais gardé. J’imaginais son sexe trempé comme j’aime et ses tétons durs et érigés appelant ma bouche et mes dents. Mes orgasmes étaient à chaque fois très forts avec une éjaculation plus ou moins abondante selon la fréquence de mes masturbations.
Plus d’un mois…
J’avais bien essayé par texto de lui faire comprendre mon envie, mais ses réponses étaient évasives, tardives, et me faisaient penser que la fin était proche.
Je la comprenais, je la suivais même, mais le sexe si bon entre nous me manquait. Elle avait plusieurs sextoys chez elle, je l’imaginais souvent prendre son pied avec. J’avais aussi imaginé qu’elle puisse baiser un autre homme.
C’est une belle femme, elle sort dans les milieux « caraïbéens », aucune difficulté pour elle de trouver un amant si elle le souhaitait.
Ses textos parfois m’encourageaient et d’autres me freinaient.
Je lui fis une proposition de boire un verre en terrasse un soir de beau temps.
Elle accepta.
Le seul fait de la savoir partante mit mon cerveau en ébullition, j’étais au bureau mais je partis m’isoler afin de jouir en repensant à nos anciens ébats.
Plus d’un mois…
Enfin elle arriva.
Légèrement maquillée, en jean et top noir.
Pas de quoi me faire penser qu’elle aurait voulu me charmer.
Nous parlions de choses et d’autres, banalités comme deux bons amis en buvant une tasse de thé. La proximité de nos corps, l’absence de sexe entre nous, il ne me fallut pas longtemps pour sentir ma queue gonfler dans mon pantalon. Mon œil parcourait son corps discrètement et s’arrêtait entre ses cuisses, sur sa poitrine… Tout cela ne faisait qu’accentuer mon excitation.
Elle avait changé de parfum. Il me plaisait moins, mais peu importe c’était l’odeur de son sexe que je voulais sentir… Je lui parlais et je voyais mon visage enfoui entre ses cuisses, ma langue furetant son intimité, mes lèvres collées aux siennes.
Plus d’un mois…
Deux heures passèrent je ne savais pas quoi faire. Nous partîmes. Chemin de retour sans aborder le sujet qui nous taraudait tous les deux et arrivé dans mes escaliers, je pris mon téléphone et lui envoya un sms :
– Elle : C’est vrai que c’est dur de se quitter
– je répondis par une blague nulle mais ciblée : Et quand c’est dur… Ce n’est pas mou
– Elle rentra dans mon jeu verbal et rétorqua : « J’ai pas vérifié ! Hihihihihiihi »
Nous étions chacun chez soi depuis trente minutes et de textos en textos, mon envie de baiser son corps ne me quittait plus, je lui proposai d’aller danser.
Une robe… Elle allait mettre une robe. Je m’installa confortablement dans mon canapé et me masturba longuement et doucement en l’imaginant devant moi. Premier orgasme.
Quelques instants plus tard je pris ma douche bien chaude… Deuxième orgasme.
Nous avions décidé d’aller dans une boite afro-antillaise, je ne voulais pas éjaculer dans mon pantalon sitôt avoir senti son sexe contre le mien.
J’étais chaud. Je mis une belle chemise, une cravate, des souliers, un parfum de qualité. Le loup avait faim. Très faim. Il allait être comblé.
Minuit. Je pris place a cote d’elle dans la voiture. Féminine. Parfumée. Désirable.
Arrivés a la boite de nuit, personne ! Le club était quasi désert. Hors de question de rester ici. Je voulais une ambiance chaude, propice au laisser-aller, aux caresses et baisers. Ni une ni deux nous re prîmes la voiture en direction d’un autre club mais décidément le sort s’acharnait … Il était fermé.
Il était près de 2 heures du matin lorsque nous arrivâmes devant ma résidence.
Musique antillaise, lumière tamisée, un thé… Nous voilà à nouveau proches. Je vois sa poitrine monter et descendre… J’entends son souffle…
Enfin je la sens… Mes mains ressentent à nouveau son corps…
Je sens qu’elle ne porte pas de sous vêtements…J’ai envie d’elle. Mes mains parcourent son corps, je le sens qui s’offre à moi, mon sexe durcit… Nos bouches hésitantes se rejoignent, humides, nos langues se cherchent, se trouvent, s’emmêlent, le désir est là.
Sa bouche retrouve mes tétons, elle les aspire et les mordille, m’arrachant des soupirs de plaisir… Je veux la baiser. Hard. Elle prend ma queue a pleine bouche, me lèche les couilles, m’avale presque totalement, je la regarde faire en lui caressant le haut des seins doucement avant de m’arrêter sur ses bouts… Je la retrouve enfin… Chaude… Avide de sexe. Son petit haut noir est déjà a terre m’offrant le spectacle de sa poitrine, je veux tout… Je lui prends la main et l’entraîne avec moi, elle reprend ma queue et l’aspire léchant les gouttes d’envie qui perlent sur mon gland… Elle me fait bien bander car je sais qu’elle aime ce qu’elle fait… Moi, je veux aussi goûter son nectar, son jus, sa mouille, elle doit couler… Je l’allonge et enfouis ma tête entre ses cuisses, sa chatte est luisante. Petits soufflements de bas en haut, je la titille, ma langue accompagne mes lèvres sur son clito bien gonflé, je la mange littéralement, ma bouche la baise, je me délecte de son sexe qu’elle m’offre bien ouvert, jambes relevées, pubis épilé. C’est si bon de la sentir jouir. A mon tour je m’allonge et lui offre mon anus. J’aime qu’elle y glisse un doigt ou deux en me suçant… Elle sait y faire et je retrouve sa fente encore plus trempée ensuite… Cela augmente son excitation.
Le drap est trempé, je l’ai fait gicler plusieurs fois avec mes doigts… j’aime vraiment ça. Et elle est plus qu’open pour cela.
Quand enfin je me décide à la pénétrer, c’est centimètre par centimètre que je lui rentre, et quand je suis bien enfoncé je ne bouge plus. Je veux ressentir son sexe qui m’entoure… Son sexe est large et abondamment mouillé et sans être doté généreusement par la nature, je pense qu’elle me ressent bien aussi. Je l’espère du moins… Elle branle son clitoris assise sur ma queue, je lui empoigne les fesses afin que la pénétration soit totale, elle branle, branle, branle… fort. Parfois, je lui claque le cul fermement. J’alterne douceur et coups de reins puissants, ma bouche profite de ses seins en même temps.
Je la baise en levrette, cul bien écarté. Hard. Ses soupirs me font redoubler de violence. Je me sens chien.
Mon érection est bonne mais pas assez pour la sodomiser je le sens bien… Je continue donc de la sorte, mon plaisir monte, monte, je suis prêt à éjaculer, je me retire, elle se retourne et approche sa bouche… Je comprends son envie, son regard, alors elle prend ma queue dans la bouche et je laisse couler mon jus chaud dans sa gorge… C’est bon de la baiser.
Ça faisait plus d’un mois.
Nos corps s’affalent… On s’assoupit ensemble.
La lumière passe par la fenêtre… Un autre jour est levé.
Zembla
13 Commentaires
tant de passion et de désire dans la lecture fait rêver
Hum my God…
Chaud bouillant…
Je kiff mega grave!mmmmmmm
À la hauteur de l’attente ! Très bonne lecture. Je l’envierais presque 😉
Besoin d’une douche froide 😉
Normal… à 9h37 c’est pour te réveiller ! :o)
Folie ! ! ! !
Non mais t un vrai chaud Zemba!!!! cest bon de te lire…
Seul je ne suis rien… Avec une compagne complice… Tout change ! Merci pour la lecture
la complicité c’est la base de tout !
chaud bouillant, chaud lapin, chaud cacao, chaud tout bitin menm !! lol
Ou pé di sa… Cho kon la brèz ! :o)
Pffoouuuulalaaaaa ! ! !…